I – Steve Jobs rêvait de télétravail, mais Apple pense différemment 🍏
@JVTech
En 1990, Steve Jobs offrait déjà à certains employés la possibilité de travailler à domicile. Pour lui, c’était un moyen d’adapter rapidement les entreprises aux changements.
Cependant, aujourd’hui, le PDG d’Apple, Tim Cook, a une approche différente. Après les restrictions de mobilité dues à la pandémie, il a demandé aux employés de revenir au bureau, suscitant des tensions et des départs.
Actuellement, Apple propose un modèle hybride avec trois jours de travail en présentiel et deux jours de télétravail, se rapprochant du concept de Jobs en 1981. Cette histoire montre que Jobs avait déjà une vision du futur du travail, prouvant que le télétravail était envisageable depuis longtemps.
II – Le télétravail est-il un frein aux progressions de carrière ? 👀
@Challenges.fr
Les managers s’interrogent sur la conciliation du télétravail et de l’évolution de carrière. 80% des employeurs estiment que les perspectives d’évolution et d’augmentation de salaire sont limitées pour les employés en télétravail.
Un rapport d’Unispace Global Workplace Insights montre que 76% des employeurs français souhaitent que les employés soient présents au bureau quatre jours par semaine, alors que seulement 37% des employés sont satisfaits de cette configuration.
Les entreprises devront trouver des solutions pour s’adapter à cette demande de flexibilité tout en continuant à se développer.
III – Tracances : un bon plan pour les salariés et leurs employeurs ?
@20Minutes
De plus en plus de salariés français pratiquent les « tracances », travaillant à distance depuis leur lieu de séjour de vacances. Certaines entreprises autorisent cette pratique, mais avec des limites pour préserver l’équilibre vie pro / perso. Les DRH se soucient également de la charge de travail des collaborateurs ainsi que des inégalités entre ceux qui peuvent profiter du télétravail et ceux qui ne le peuvent pas.
Malgré ces points d’inquiétude, les entreprises considèrent les « tracances » comme un facteur d’attractivité et de rétention des employés, offrant une reprise en douceur après les vacances estivales. Les dirigeants estiment que les salariés restent aussi productifs en conservant leur autonomie.